Defibtech est fier de présenter l’appareil de massage cardiaque automatisé Lifeline ARM.
En complément de l'utilisation d'un débrillateur Lifeline de Defibtech, il est recommandé d'utiliser le Lifeline ARM de Defibtech. Il augmente considérablement les chances de survie suite à un arrêt cardiaque. Grâce à un massage cardiaque efficace et continu, la circulation sanguine est améliorée pendant l'arrêt cardiaque.
Peu de gens réalisent correctement le massage cardiaque alors que toute technique de soin intensif requiert un haut niveau d’excellence dans son exécution.
C’est le cas de la réanimation cardio-pulmonaire avec le Lifeline ARM: les chances de retour à une circulation spontanée du patient ne peuvent être maximisées qu’avec un massage cardiaque efficace et continu (en complément de l'utilisation du défibrillateur Lifeline de Defibtech).
Ce dispositif délivre des compressions optimales avec une profondeur et un rythme adéquats, en conformité avec les recommandations ERC et AHA. La conception innovante de l’ARM facilite son transport, permet une mise en service rapide et donne à l’intervenant la possibilité d’effectuer des compressions avec ou sans insufflation. Les évènements sont enregistrés en interne.
Issu des technologies les plus récentes, l’appareil de massage cardiaque ARM se compose d’un piston de compression intégré dans un cadre léger et robuste. La conception innovante du moteur assure un fonctionnement performant et sans à-coups du piston de compression. Le moteur est doté d’un logiciel de pilotage intelligent qui ajuste avec une grande précision la profondeur et la fréquence des compressions selon la résistance du thorax du patient.
La rigidité du cadre assure un massage efficace sans risque de provoquer une déviation ou une distorsion excessive du cadre qui pourrait compromettre la profondeur constante des compressions. Avec son interface utilisateur intuitive, l’appareil de compressions thoraciques ARM facilite l’intervention du secouriste et lui permet de se consacrer aux autres soins du patient.
